La Banque mondiale ne veut plus financer des projets néfastes aux LGBT

Publié le

Le président de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, a évoqué hier cette position lors d'une conférence consacrée aux droits des LGBT organisée par le magazine britannique «The Economist».

Article Prémium

Le président de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, a déclaré que cette institution, qui accorde des prêts aux pays en développement, réfléchit à des actions pour ne plus prêter à des pays si cela devait mettre en danger les droits des LGBT.   Le président de la Banque mondiale s’adressait en vidéo aux participant.e.s de la conférence « Fierté et préjugés », organisé par le magazine britannique The Economist hier (lire aussi : « Pas leur affaire ? Le privé appelle à l’inclusion des personnes LGBT », par Fabrice Houdart). Selon le site PinkNews, Jim Yon Kim a pris l’exemple de l’Ouganda pour appuyer son propos. En 2014, la Banque mondiale avait cessé un prêt à ce pays d’Afrique de l’Est. « En 2014, explique-t-il, les Ougandais ont voté une loi beaucoup plus draconienne que la plupart des lois existantes.[…] A ce moment-là, nous allions approuver un prêt de 90 millions de dollars pour soutenir les…

Pour continuer la lecture de cet article :

Vous avez déjà un accès ?

Identifiez-vous

Centre de préférences de confidentialité