Prison ferme requise contre le leader d'un groupuscule néo-nazi dissous
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Trois ex-dirigeants d'un groupe néo-nazi dissout comparaissent depuis lundi pour "participation à un groupe de combat", à savoir une organisation hiérarchisée, susceptible de troubler l'ordre public et ayant accès à des armes.
Soulignant "leur envie de violence", le parquet a requis mardi 13 décembre à Marseille jusqu'à un an de prison à l'encontre de l'état-major du groupuscule néo-nazi Blood and Honour Hexagone (BHH), trois ans après sa dissolution.
Le jugement est attendu mercredi à 14 heures.
Trois ex-dirigeants de BHH comparaissent depuis lundi pour "participation à un groupe de combat", à savoir une organisation hiérarchisée, susceptible de troubler l'ordre public et ayant accès à des armes. Et pour la procureure, ces trois conditions sont remplies dans ce dossier.
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