Prison ferme requise contre le leader d'un groupuscule néo-nazi dissous
Publié le
Trois ex-dirigeants d'un groupe néo-nazi dissout comparaissent depuis lundi pour "participation à un groupe de combat", à savoir une organisation hiérarchisée, susceptible de troubler l'ordre public et ayant accès à des armes.
Soulignant "leur envie de violence", le parquet a requis mardi 13 décembre à Marseille jusqu'à un an de prison à l'encontre de l'état-major du groupuscule néo-nazi Blood and Honour Hexagone (BHH), trois ans après sa dissolution.
Le jugement est attendu mercredi à 14 heures.
Trois ex-dirigeants de BHH comparaissent depuis lundi pour "participation à un groupe de combat", à savoir une organisation hiérarchisée, susceptible de troubler l'ordre public et ayant accès à des armes. Et pour la procureure, ces trois conditions sont remplies dans ce dossier.
Pour continuer la lecture de cet article :
Vous avez déjà un accès ?
Lire aussi
- France Télévisions condamné aux prud'hommes pour une affaire de harcèlement
- Football : la Concacaf déplore la « persistance » des chants homophobes dans les stades
- Soins palliatifs : « La Maison de Gardanne », fondée pendant la crise du sida, célèbre ses 30 ans
- Projets d'attentats jihado-néonazis : deux ans et demi et quatre ans de prison pour deux jeunes majeurs
- Christophe Girard contre des féministes : épilogue judiciaire en mai
Aucun commentaire…