Et si « Work In Progress » était la meilleure série LGBT+ du moment ?

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La sortie du premier épisode de « Work In Progress », le 8 décembre dernier, concordait avec celle du premier épisode de la très attendue « The L Word Generation Q ». Mais ne vous y trompez pas, la série la plus queer que vous pouvez voir en ce début d’année n’est pas celle que vous croyez.

Work In Progress
Abby McEnany (à gauche) et Theo Germaine (à droite) dans « Work In Progress »
Article Prémium

Actuellement diffusée en France sur Canal + SériesWork In Progress est très largement inspirée du vécu de sa co-créatrice Abby McEnany, issue du milieu des scènes ouvertes d’improvisation de Chicago. Son héroïne éponyme, qu’elle incarne à l’écran, est une « grosse gouine queer » de 45 ans. C’est comme cela qu’elle se décrit lors d’une séance avec sa psychologue, au cours de laquelle elle annonce projeter de se suicider dans 180 jours. Une scène d’ouverture déroutante, qui donne le ton de cette série comique, entre humour noir et burlesque. Le seul bémol de cette série ? On n’en entend pas assez parler. Quelque peu éclipsée par la sortie du reboot de la série culte The L Word, Work In Progress est pourtant le programme LGBT+ le plus enthousiasmant du moment.

Le pari du réalisme

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