Metz: la relaxe pour les quatre accusé.e.s d’actes homophobes sur un membre de leur famille?
Très affecté par l'affaire, Jean-Luc Tritz affirme avoir subi des menaces et des insultes à l'approche du procès.
Mardi 26 mai comparaissaient à Metz quatre membres de la famille de Jean-Luc Tritz, un homme gay de 42 ans handicapé à 79 %, pour injures, incitation au suicide, menaces de mort et intimidation sur personne vulnérable en raison de l’orientation sexuelle. Une première audience avait eu lieu en septembre dernier, audience à laquelle les quatre prévenu.e.s s’étaient présenté.e.s sans avocat et qui avait dû être finalement reportée. Tou.t.e.s les quatre ont nié les accusations d’homophobie dont ils et elles font l’objet. Ils/elles nient être à l’origine des courriers anonymes reçus par la victime. Selon l’AFP, le parquet a requis la relaxe pour les quatre membres de la famille Tritz par manque d’aveux et de preuves, estimant que l’homophobie n’est pas le cœur de l’affaire. La nièce de Jean-Luc Tritz, Virginie Tritz, envisagerait par ailleurs de porter plainte. Elle affirme que Jean-Luc Tritz aurait pu écrire les lettres lui-même, ce qu’il réfute totalement…
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