Étude: Le traitement pour empêcher la puberté des ados trans’ serait sans danger
Certain-e-s redoutaient qu'à terme, cela pose des problèmes pour le développement osseux.
La 95e Conférence annuelle de la Société d’endocrinologie à San Francisco a été l’occasion, lundi 13 juin, de publier les résultats d’une étude selon laquelle le traitement administré aux adolescent-e-s trans’ pour bloquer l’apparition des modifications corporelles liées à la puberté serait sans danger pour leur santé. C’est à cette époque de la croissance que la masse osseuse augmente et certain-e-s craignaient que cela fragilise les trans’ qui suivent ce traitement. L’étude menée par la Néerlandaise Henriette Delemarre-van de Waal prouve que cette procédure ne comporte pas de risque dans ce domaine, rapporte Science Codex. Les 127 adolescent-e-s suivi-e-s pour cette enquête n’ont pas produit les hormones qui provoquent l’apparition des caractères sexués pendant la puberté. À partir de l’âge de 16 ans, ils/elles ont pu ingérer des hormones correspondant à leur genre souhaité, comme le permet la loi néerlandaise. Si la masse osseuse des plus jeunes a augmenté, celle des plus âgé-e-s…
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