Pussy Riot: Cécile Duflot et Garry Kasparov apportent leur soutien, le Conseil présidentiel des droits humains s’interroge

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Alors que les avocats des 3 militantes s'apprêtent à faire appel de la décision, le Conseil présidentiel des droits humains russe a publié un communiqué de presse dans lequel il s'étonne de la sévérité de la peine.

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Alors que les avocats de Nadézhda Tolokonnikova, Maria Alekhina et Ekaterina Samoussevitch, les 3 jeunes femmes condamnées à 2 ans de camp (lire Pussy Riot : les trois membres du collectif condamnées à deux ans de prison), s’apprêtent à faire appel de la décision, le Conseil présidentiel des droits humains russe a publié, ce vendredi 24 août, un communiqué de presse dans lequel il s’étonne de la sévérité de la peine et met en lumière plusieurs interrogations sur le procès lui-même. « Par exemple, pourquoi les défenderesses ont-elles dû rester menottées pendant plusieurs heures à la lecture du jugement ? Pourquoi ont-elles toutes été condamnées à la même peine alors que 2 d’entre elles ont des enfants en bas âge ? », peut-on y lire, selon l’agence Interfax. « Pourquoi la peine est-elle à ce point plus sévère que les peines pour blasphème selon les lois de l’Empire russe ?, poursuit le document. Et pourquoi faut-il attendre…

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