Pour un étudiant francilien sur cinq, l’homosexualité n’est pas « une manière d’aimer comme une autre »
SOS homophobie et le Collectif des associations étudiantes LGBT d'Ile-de-France (Caélif) ont publié les résultats d'une enquête sur les représentations de l’homosexualité en milieu étudiant. Décryptage avec Simon Lhéritier, du Caélif.
SOS homophobie et le Collectif des associations étudiantes LGBT d’Ile-de-France (Caélif) se sont associés pour réaliser une enquête sur les représentations de l’homosexualité dans le milieu étudiant. Plus de 4000 réponses d’étudiant-e-s en grandes écoles ou universités ont été analysées. Alors que l’on a parfois tendance à penser que les jeunes sont plus ouvert-e-s d’esprit que leurs aîné-e-s et que l’homosexualité ne pose plus problème aux nouvelles générations, les résultats publiés ce matin viennent remettre quelques pendules à l’heure et rappeler l’importance primordiale des campagnes de sensibilisation dans les facs et autres établissements de l’enseignement supérieur. Pour Yagg, Simon Lhéritier, responsable de l’enquête au Caélif, décrypte ces résultats. Quels sont, pour vous, les points saillants de cette enquête ? Ce qui ressort en premier lieu, qui est un peu la réponse à la question très générale « Que pensent les étudiants franciliens de l’homosexualité ? », avec ce chiffre un peu global qui laisse…
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