Trois raisons pour lesquelles le gouvernement doit accélérer le calendrier pour l’accès à la PMA pour toutes, par SOS homophobie
SOS homophobie alerte le gouvernement sur le calendrier choisi pour l’ouverture de la PMA à toutes les femmes.
Ouvrir la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux célibataires fin 2018 ? C’est le choix de calendrier annoncé par la ministre de santé Agnès Buzyn au lendemain de la publication par le Comité d’éthique, le 27 juin dernier, d’un avis favorable à la PMA pour toutes. Pourtant, la PMA est aujourd’hui approuvée dans l’opinion par plus de 60 % des Français selon un récent sondage de l’IFOP. De nombreux professionnels de santé, à l’image de l’obstétricien René Frydman, y sont favorables. La ministre de la santé a annoncé qu’un débat sur la PMA aurait lieu en 2018 dans le cadre des états généraux sur la bioéthique. La PMA fin 2018 : un calendrier risquéAlors que le calendrier choisi par le gouvernement inquiète celles et ceux qui soutiennent et attendent la PMA depuis de nombreuses années, son échéance lointaine suscite des interrogations : pourquoi rouvrir un débat qui a déjà eu…
Pour continuer la lecture de cet article :
Vous avez déjà un accès ?
- France Télévisions condamné aux prud'hommes pour une affaire de harcèlement
- Football : la Concacaf déplore la « persistance » des chants homophobes dans les stades
- Soins palliatifs : « La Maison de Gardanne », fondée pendant la crise du sida, célèbre ses 30 ans
- Projets d'attentats jihado-néonazis : deux ans et demi et quatre ans de prison pour deux jeunes majeurs
- Christophe Girard contre des féministes : épilogue judiciaire en mai