Du Sénat à l’ONU, les anti-égalité sont toujours là
Les militant-e-s pro-égalité ne sont pas en reste et contre-attaquent sur les réseaux sociaux comme dans la rue, comme avec les Réveilleurs.
Si la « Manif pour tous » enregistre une série de défections – les fondateurs/trices Virginie Merle-Tellenne, renommée Frigide Barjot, Xavier Bongibault et Laurence Tcheng ont quitté le navire – le venin qu’elle distille ne cesse de se répandre. Lundi 10 juin, le sénateur Jean-Pierre Michel (PS), rapporteur du projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption, a eu la mauvaise surprise de découvrir un autocollant du « Printemps français » sur la porte de son bureau. « Un acte étonnant, grave et inadmissible », s’est exclamé Jean-Pierre Michel sur Public Sénat. « Une enquête approfondie pour savoir d’où cela vient » a été demandée au président du palais du Luxembourg, Jean-Pierre Bel. Toujours dans l’outrance, Grégor Pupinck du lobby d’inspiration chrétienne European centre for law and justice (ECLJ) a pris la parole jeudi 6 juin devant le Conseil des Droits de l’homme des Nations Unies à Genève pour dénoncer « la répression policière » dont seraient victimes les participant-e-s…
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