Louis-Georges Tin: « Aujourd’hui, se lève un espoir en Russie non seulement pour les homosexuels, mais pour tous ceux qui sont attachés à la liberté en général »

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Pour Yagg, Louis-Georges Tin, président du Comité Idaho, réagit à la décision de la Cour européenne des droits de l'Homme condamnant la Russie pour l'interdiction des gay prides de Moscou.

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Pour Yagg, Louis-Georges Tin, président du Comité Idaho, réagit à la décision de la Cour européenne des droits de l’Homme condamnant la Russie pour l’interdiction des gay prides de Moscou. En 2006, en parallèle de la gay pride interdite de Moscou, le Comité Idaho avait organisé une conférence. Pouvez-vous rappeler brièvement de quoi il s’agissait ? Pourquoi aviez-vous voulu vous joindre aux efforts des militants russes ? En effet, le Comité Idaho avait organisé une conférence internationale à la veille de cette Moscow Pride, en coordination avec Nikolai Alekseev, qui est à la fois l’organisateur de la Pride, et le vice-président du Comité. Le but était clairement d’apporter un soutien politique international à cette Pride. De fait, de nombreux correspondants ou amis du Comité Idaho avaient fait le déplacement, des militants originaires de plus de 30 pays. Et du coup, pour la conférence de presse, il y avait devant nous des caméras…

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